Bonheur Académie
Un film de Alain Della Negra et Kaori Kinoshita
2016 - France - 75 min – Numérique – Couleur – 2.35 - Son 5.1 - Visa n° 143 375
Avec Laure Calamy, Michèle Gurtner, Arnaud Fleurent-Didier, Benoît Forgeard
Sortie le 28 juin 2017
Bien décidées à trouver l’âme sœur Lily et Dominique partent sous le soleil de Croatie au summer camp annuel organisé par Raël.
Entre ateliers d’éveil, méditation et quête du bonheur, les deux jeunes femmes se disputent les faveurs d’un chanteur à succès, Arnaud Fleurent-Didier.
Téléchargements
Équipe technique
- Réalisation et Scénario : Alain Della Negra et Kaori Kinoshita
- Image : Yoann de Montgrand
- Son : Julien Brossier, Xavier Thibault, Laure Arto
- Costumes : François Louis Delfolie
- Montage : Nicolas Boucher
- Musique : Arnaud Fleurent-Didier, Dorothée De Koon
- Production : ECCE Films
- Produit par : Emmanuel Chaumet
- Direction de Production : Pierre da Silva
- Production exécutive : Mathilde Delaunay
- Ventes internationales : ECCE Films – Louise Rinaldi
- Presse : Karine Durance
- Distribution et édition vidéo : Épicentre Films
Équipe artistique
- Laure Calamy : Lily
- Michèle Gurtner : Dominique
- Arnaud Fleurent-Didier : Le chanteur
- Benoît Forgeard : Bruno
À propos
Kaori Kinoshita est née à Tokyo en 1970 où elle a étudié la sculpture. Elle arrive en France en 1997 pour explorer l’art vidéo aux beaux-arts de Dijon, avant d’entrer dans le studio d’arts contemporains du Fresnoy. C’est ici qu’elle rencontre Alain Della Negra, né en France en 1975, venu des Beaux Arts de Strasbourg.
Ils ont, dès lors, vécu et travaillé ensemble à Paris, établissant depuis 10 ans une relation entre identité personnelle et avatars : personnages virtuels, masques et déguisements, happenings communautaires…
Ils débutent alors leur carrière commune avec de courts documentaires (DROPPING OUT, CHITRA PARTY, LA TANIERE, HOW MUCH RAIN TO MAKE A RAINBOW…) avant de diriger en 2009 le film documentaire THE CAT, THE REVERAND AND THE SLAVE où ils effectuent une série de portraits comparés d’américains dans leur vie de tous les jours et à travers leurs avatars sur le jeu en réseau Second Life.
Au même moment, le tandem à commencé à développer un nouveau projet intitulé TOKYO’S NEW WIFE IN JAPAN et tournent une fiction pour le cinéma en Croatie, BONHEUR ACADEMIE, où ils filment des membre du mouvement Raëlien accompagnés d’acteurs professionnels, au cœur de leur Université du Bonheur.
Par ailleurs Kaori et Alain collaborent régulièrement avec de nombreux centres artistiques tels que le Palais de Tokyo et le Centre Pompidou à Paris ainsi que Le Musée d’Art de Haïfa.
Revue de presse
« La comédie de l’été” ELLE
« Auteur en 2010 de l’étonnant The Cat, the Revenant avec the Slave, le duo de cinéastes s’invite cette fois-ci dans la secte raëlienne, que leur caméra pénètre sans surplomb ni ironie, avec des acteurs qu’on aime bien. » LIBERATION
« La toujours excellente Laure Calamy cherche l’amour en Croatie, lors d’un summer camp de Raël, gourou grotesque déjà popularisé par Houellebecq dans « La Possibilité d’un île ». La version « orgasme et méditation » des Bronzés. » LE FIGARO
« Laure Calamy (Dix pour cent) est épatante. » LE PARISIEN
« On peut comparer ce film avec le drolatique Problemos d’Eric Judor. (…) Laure Calamy est toujours un enchantement, glissant ici de la fantaisie à l’émotion. »LES INROCKS
« Entre documentaire et fiction, une immersion troublante chez les raëliens. Bonheur Académie captive comme un jeu sérieux. » TELERAMA
“Une fiction touchante (…) Le portrait drôle, mais teinté de spleen, d’une génération d’isolés qui ne savent plus très bien comment créer du lien, même amical.” TROIS COULEURS
“Un film très peace and love” ROCK et FOLK
« L’équivalent d’une cure revitalisante ou d’un stage de remise en forme, mais dont le programme un peu fêlé ne nous aurait pas été communiqué à l’avance. Un concentré de virages inattendus qui créent l’exaltation. C’est peu de dire que cela fait du bien ! » ARTISTIK REZO.COM
« Un film culotté ! (…) La fiction se fond parfaitement dans le décor réel de ce stage et si le sujet nous capte totalement, la forme apparaît aussi très travaillée et le tout donne à voir un bel objet cinématographique. » AVOIRALIRE.COM
« Si l’on appartient à la minorité grognonne qui se plaint, régulièrement, que le cinéma français soit routinier et sans audace, on n’aura aucune excuse de ne pas aller voir Bonheur Académie. Car, depuis, La Bataille de Solférino de Justine Triet, aucune proposition de film n’avait été aussi originale. » FROGGYDELIGHT.COM
Festivals
- Festival International du Film Indépendant de Bordeaux
- Journées Cinématographiques Dionysiennes de Saint Denis
- Champs-Élysées Film Festival
- Festival International du Film Culte de Trouville