Pitchipoï

Un film de Charles Najman

Fiction - 2014 - France

Avec Xavier Gallais, Laurent Lacotte, Sabrina Seyvecou, Serge Merlin, Michèle Moretti, Sarah Grappin, Jackie Berroyer, Olivier Loustau Denis Lavant, Jean-Louis Coulloc’h, Jacky Nercessian

Sortie le 4 février 2015

Julien Schulmann est humoriste. Il vient de perdre son père, un juif polonais, survivant des camps d’extermination. Avant de mourir, son père a laissé un « testament » où il demande à son autre fils, Pierre, pourtant disparu depuis deux ans, de disperser ses cendres en Pologne, sa terre d’origine. Cette préférence familiale sera un choc cruel pour Julien qui va ouvrir en lui un abîme, mettant peu à peu au jour un secret indicible…

Équipe technique

Réalisation : Charles Najman

Image : Sylvain Verdet et Louise Botkay Courcier

Son : Rosalie Revoyre, Béatrice Wick, Bruno Tarrière

Montage : Lise Beaulieu

Musique : Jean-François Pauvros

Décors : Bénédicte Walravens

Costumes : Dorothée Lissac

Maquillage : Diane Duchesne

Distribution : Sedna Films

Coproduction : La Vie Est Belle, Mezzanine Films, Shellac

Presse : Annie Maurette

Édition DVD : Épicentre Films

 

Équipe artistique

Julien Schulman : Xavier Gallais

Ari : Laurent Lacotte

Sophie : Sabrina Seyvecou

Albert : Serge Merlin

Zocha : Michèle Moretti

Pierre Schulman : Denis Lavant

 

À propos

BIOGRAPHIE ET FILMOGRAPHIE DU REALISATEUR

Charles Najman est un écrivain et cinéaste français. Après des études de philosophie, il réalise de nombreux documentaires et mène parallèlement une carrière d’écrivain. Après un court métrage, il réalise son premier long métrage en 1996, LA MEMOIRE EST-ELLE SOLUBLE DANS L’EAU ? Il obtient les prix du Jury et celui du Jury étudiant au festival de Dunkerque, le Prix du Public au festival de Belfort et le grand prix du festival international de Tübingen. Il réalise LES ILLUMINATIONS DE MME NERVAL un long métrage documentaire en 1999 qui reçut le prix Jean Rouch en 2000. Son second film ROYAL BONBON est sélectionné aux festivals de Toronto, de Locarno, de La Havane et de New York, avant de recevoir le prix Jean
Vigo en 2002. Il réalise deux ans plus tard LA FIN DES CHIMERES ? qui obtient le Prix du festival international de Jacmel. En 2011, Charles Najman réalise le documentaire UNE ETRANGE CATHEDRALE DANS LA GRAISSE DES TENEBRES, qui reçoit l’Etoile de la SC AM 2012. Il r evient à la f iction avec PITCHIPOÏ.

Longs métrages :

Pitchipoï- 90 mn – 2014
Une étrange cathédrale dans la graisse des ténèbres 78 mn – 2011 Récompensé
aux Étoiles de la SC AM 2012 –
La fin des chimères 70 mn – 2004 Sortie France 2004 et diffusion sur ARTE Primé
au festival international de Jacmel
Royal Bonbon 89 mn – 2002 Prix Jean Vigo 2002 En compétition aux festivals de
Toronto, Locarno, La Ha vane et New-York
La mémoire est-elle soluble ? 86 mn – 1996 Prix du Jury et Prix du Jury Étudiant au
festival de Dunkerque 1996 Prix du public au festival de Belfort 1996 Grand Prix
du f estival international de Tübingen 1 997

Documentaires :

Les illuminations de Mme Nerval 87 mn – 1999 Diffusion sur ARTE 1999 Grand Prix
du film Ethnographique au Festival Jean Rouch Grand Prix au festival international
du documentaire à K alamata
Les Revenants 1993 Prix Ar ts et Culture au F estival d’Angers

Autres :

Ecriture : Haïti, Dieu seul me voit. Editions Balland 1995, lauréat de la bourse Villa
Médicis hors les murs La P olice des Images. Editions Encre 1981
Etudes : Études de philosophie à la Sorbonne – P aris

Revue de presse

« Le Vingt Mille Lieues sous les mers de la névrose juive. » Le Monde

« Un voyage mental, ricanant, touchant, histrionesque, attentatoire aux règles de l’art. Quelque chose de la veine du baroque du cinéma polonais rôde dans ce film. » Le Monde

« Beaucoup de culot, d’idées et de fantaisie dans ce drôle de voyage initiatique » Télérama

« La mise en scène de Najman travaille au corps son héros meurtri en même temps qu’elle questionne l’identité juive avec acharnement. » Trois Couleurs

« Une fable iconoclaste sur les angoisses de l’héritage culturel » Première

« Charles Najman n’a pas son pareil pour mêler la gravité et le burlesque. » L’officiel des spectacles